Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 18:05

http://paloma-nimes.fr/wp-content/uploads/2014/08/benjamin-clementine.jpg

 

 

Benjamin Clémentine, londonien d'origine ghanéenne, est un autodidacte avec une histoire comme on les aime.

 

Début de la musique à 6 ans à Londres avec un piano-jouet. Départ pour Paris à 19 ans après un conflit avec son coloc de longue date,

Une idée précise en tête: la musique.

Mais début de la galère (sans-abri et sans un sou). De bar en hôtel, de la rue au métro (métro parisien ligne 2) il fait ses armes et se fait finalement repérer par des producteurs.

Il commence à se faire connaître discrètement de la presse et du public pour finalement exploser au festival des Transmusicales de Rennes en 2013. La suite se passe de commentaires: signature d'un contrat dans une maison de disques (à Londres et à Paris s'il vous plaît!).

Ce mois-ci est sorti son premier album intitulé "At least for now" qui raconte son histoire. Une voix pleine d'intensité, une musique parfois dépouillée et sinusoïdale. Des prouesses pianistiques.

Benjamin Clementine est un poète des temps modernes qui se caractérise par un expressionnisme et un minimalisme à couper le souffle.

Vous ne resterez pas de glace devant ce Jacques Brel ghanéen!

 

Pour la peine, je vous ai sélectionné mes 4 titres préférés de l'album!

 

 


 


 

 

 

 


 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
20 janvier 2013 7 20 /01 /janvier /2013 10:35

 

Marre de l'hiver, marre des pulls, marre des doudounes? Filez tout droit écouter la pop cool de Cayucas, californien qui nous fait bien comprendre que là où il vit, c'est plus cool qu'à Montluçon.
Zach Yudin, de son vrai nom, n'a pas encore sorti d'album mais les 3 titres déjà livrés (Cayucos, Swimsuit, et High School Lover) sont de bon augure pour la suite: son rythmé avec une batterie entêtante, voix claire et joviale, tous les ingrédiens sont là pour vous évader.
On retrouve un peu de Beach Boys, de Vampire Week End, de Drums et ce n'est pas pour nous déplaire. 
Allez, mets ton maillot, pousse le volume et danse!

 


 

 

Partager cet article
Repost0
23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 20:04

robin-foster-christian-geisselmann-1-copie.jpg

 

 

Combien de fois dans une journée rêve-t-on de s'évader? Combien de fois pense-t-on à tout quitter pour vivre sa vie selon ses choix? Combien de fois pense-t-on à prendre son destin en main? Souvent. Combien le font? Peu d'élus... ou peut-être plus que l'on ne croit. 

Car certains artistes, certains sons permettent de s'évader l'espace d'un instant ou d'accompagner tant les grandes épopées de la vie de chacun (bonnes ou mauvaises) que les moments de planitude spirituelle. Robin Foster est assurément un de ces artistes qui vous permettent de décupler ces instants magiques ou tragiques. Et le son qui s'en dégage n'est certainement pas indifférent au parcours de ce natif de Manchester qui il y a dix ans décide contre toute attente et de manière totalement libre de s'installer en France, et plus précisément en Bretagne à la pointe Finistère, terre de tempêtes et d'horizons lointains, havre d'inspiration infinie. C'est là qu'il commencera sa carrière d'instrumentaliste, signant un premier ep qui restera très confidentiel jusqu'à ce que la marque Hugo Boss lui mette le grappin dessus en le signant pour la pub Boss Bottled avec le titre "Blue Lights At Dusk" qui le fait enfin éclore sur les terres de ces ancêtres.

Mais c'est la rencontre avec Dave Pen (leader d'Archive) qui marquera en 2010 un tournant dans la carrière de cet autodidacte à la classe lancinante, les deux artistes se mettant d'accord sur un projet original d'album liant instrumental et trip hop accessible. Et cette rencontre fera des émules puisque viendra se greffer au projet la magnifique chanteuse afro-canadienne Ndidi O. Victor Hugo disait dans les Misérables: "Il y a des instincts pour toutes les rencontres de la vie". Et l'instinct a ici bien fait les choses.

Le résultat: "Where do we go from here?", un album de rêveurs, symphonique, puissamment doux, alliant instrumental et voix de grace. Une classe inclassable. Parfaitement movie rock. Parfaites road songs pour virées libertaires.

Fermez les yeux. Evadez-vous. Lâchez prise. Dig your sound... Jean.

 

Partager cet article
Repost0
12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 22:09

 

girlsband1

 

Les disquaires peuvent se réjouir, le 3ème opus de Girls sort dans les bacs. Ils ne feront pas leur chiffre d'affaires avec ça mais ils auront au moins de quoi se targuer d'avoir le chef d'oeuvre 2011 dans leur rayon indé.

 

Après un premier maxi logiquement (?) intitulé "Album" (chroniqué dans ces colonnes), nos amis californiens sortent un 6 titres un peu trop drogué l'an dernier. Leur année 2010 - complètement éreintante - y est pour quelque chose, Christopher Owens et sa bande étant littéralement épuisés, usés des excès d'une première tournée mondiale complètement dingue. Nous les avions rencontré à Paris il y a un an et déjà, déjà, le chaos se faisait sentir: ruptures, orgies, colères, sexe, amitié furtive,...

 

Mais là ou les fabuleux rock-critics ne donnaient pas cher de leur peau, Girls les renvoie tous aujourd'hui à leur petit bureau de bobo en sortant cette semaine un "Father, Son, Holy Ghost" tout simplement fabuleux. Un album rock, abrasif mais complètement mélancolique.

 

Des guitares saturées, une batterie élégante, une basse qui prend aux tripes, une voix comme il n'en existe plus: voilà les ingrédients de Girls. De la première à la dernière chanson, les émotions se mélangent: on a le plus gros spleen de la terre en écoutant "Vomit", on a envie de prendre sa planche avec ses potes sur "Die" et on a envie de conclure sur "My Ma". Tout y est, des envolées psyché, des riffs de pop surf comme les Beach Boys en faisaient au sommet de leur art, et surtout des mélodies ultra-classieuses.

Car ce qui place Girls définitivement au dessus du lot, c'est la classe ultime de leurs compositions, toutes marquées par un son léché mais sans chichi.

 

Si vous n'avez toujours pas effectué votre bonne action cette année, c'est encore le moment en achetant très égoïstement pour vous, rien que pour vous, la dernière livraison de Girls. 

 

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 22:01

56505_wu_lyf.jpg

 

Il est des albums ou des groupes que l'on apprend à aimer: La première écoute est surprenante, la seconde intéressante, la troisème une révélation. Les suivantes seront jubilatoires.

A force d"écouter des masses et des masses de sons de tous les côtés, via toutes sortes de médias, on ne sait parfois plus trop où se situer: perte de repères, mélange incohérent de sentiments, pétage de plombs...

Puis vient ce groupe, ce son qui nous réveille et nous remet dans les rails, nous fait avancer. Le besoin de liberté, de nouveauté, de singularité que l'on ressent trouve alors sa cure de jouvence. Comme un peuple chercherait son messie: c'est une libération.

«Je trouve ça libérateur, cette façon d’aller tout droit : boum boum boum, voilà ce que nous faisons. Ce sont les imperfections qui rendent les choses humaines. Je n’aime pas les astuces informatiques qui transforment les chansons en ce qu’elle ne sont pas.»  affirme dans un élan de maturité le jeune et néanmoins charismatique Ellery Roberts, leader écorché de Wu Lyf (World Unite Lucifer Youth Foundation) qui témoigne de cette quête du retour à l'essentiel et n'hésite pas à lâcher ses tripes sur scène, expulsant chacun de ses vers avec des coups de poing sur le coeur comme le coeur d'une société qui ne cesserait de battre malgré les heurts, les peines et les déceptions, comme la libération d'une rage communicative mais saine: celle qui permet de retrouver la plénitude. Wu Lyf est un marqueur de société, une empreinte sentimentale musicale des années 2010. Quelle claque en écoutant ce mélange de musique épurée et gracieuse accouplée à une voix arrachée mais néanmoins pleine de chaleur !

Les articles ne méritent d'être rédigés que lorsque cela en vaut vraiment la peine. Inutile de vous le cacher plus longtemps même si cela semble flagrant. Wu Lyf est un coup de coeur.

Alors bonne écoute à vous. En espérant que vous partagerez le même sentiment.

Dig your sound. Jean.

 

Partager cet article
Repost0
4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 00:22

foty.jpg

 

 

"Des Mamas and the Papas sous acide". Ainsi résume très bien Steven Tyler, leader d'Aerosmith, lorsqu'il parle de ce jeune groupe fraîchement débarqué de Boston mais néanmoins originaire des Wales.

Un son "psyshake" aérien et éclectique parcourt leur premier album sorti en 2009 aux States et un peu plus récemment en Fransylvanie.

Electro, folk, mixité des voix: un son innattendu qui déboîte les enceintes et file une pêche de folie de A à Z, du 1er au dernier morceau. L'album n'est peut-être pas à la portée d'un public fan de Patrick Sébastien mais on n'en attend pas moins d'un groupe qui entame une tournée mondiale tout en continuant à s'autoproduire. Résister à l'appel des sirènes des maisons de disque n'est pas chose facile et le mérite n'en est que plus grand. Qui plus est, le tableau proposé marque un retour dans les années 70 avec un brin de modernité quand même. Comme si Woodstock faisait la cour à un Glastonbury bien énervé...

A ne pas en douter, l'album s'inscrit d'ores et déjà comme une valeur pop folk sérieuse de cette première partie d'année 2011.

Ce petit chef d'oeuvre est disponible chez tout bon disquaire digne de ce nom.

 

"Mon petit doigt me dit" que vous allez avoir le smile... Bonne écoute!

 

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 18:39

C'était hier soir. 20h: début des hostilités.

Cette année, certes, les têtes d'affiche ne sont pas présentes mais l'essence du festival n'est pas là. Pas besoin d'en faire des caisses pour savoir que c'est ici que se sont révélés de très grands (Nirvana, Ben Harper, Jamiroquai, Lenny Kravitz....). Et n'est-ce pas là la quête de tout mélomane qui se respecte.

 

La soirée est annoncée comme rock. Nous attendons de voir mais sommes plus qu'optimistes au vu de la programmation.

 

21h: 1er concert: Lars and the Hands of Lights: classe.

Le groupe débarque. Démarche nonchalante mais le smile suspendu aux oreilles. Ils sont un peu timides au départ mais sont contents d'être là et ne vont pas tarder à le faire comprendre au public. Lars balance le son, sa soeur, solaire, lui emboîte le pas. Les morceaux s'enchaînent pendant 1h pleine et sans temps morts, tous de qualité impeccable et promis au sommet des charts, pour se terminer sur le titre "me me me" qui les a fait connaître. Pas de fioritures. C'est propre et calé: on se laisse embarquer. Le concert se termine, les gens se dirigent vers les autres concerts. Et là, la petite surprise du chef qui nous rappelle pourquoi on aime tant la musique. Lars, qui souhaite marquer son passage au festival, décide de revenir malgré les techniciens qui le retiennent. Le groupe refait apparition. Hummm des notes familières... Et le band de nous plaquer un cover du "comic strip" de Gainsbourg magnifiquement interprété dans leur style caractéristique. Ces quatre là iront loin.

 

22h: 2ème concert: The Phenomenal Handclap Band: la grosse claque.

Arrivée dans la salle où un dj chauffe la foule (et il y en avait bien besoin). On cherche la scène et les artistes. Personne. Y aurait-il un problème? 22h sonnent pétantes. Le rideau s'abaisse avec un passage de relais calé de chez calé entre le dj et "el phenomeno" new yorkais: oui un véritable phénomène, un ras de marée musical même. ça shake du booty dès les premiers accords. On sent un grand show se profiler. Il y a des jours comme ça où tout s'enchaîne comme on le souhaiterait. Trois musiciens tous aussi atypiques vestimentairement et sylistiquement les uns et que les autres accompagnés d'une charmante am'sud au micro. Le guitariste s'avance pour chauffer la foule et balance un solo qui dure dure dure...on en prend plein la gueule dès le premier morceau. Le groupe ne porte pas son nom pour rien. Des mains qui claquent on en aura.

Le groupe est généreux. Le son est très catchy: le disco hippie sexuel et sensuel est de retour, avec des relans de rock bien dosés. Les tubes s'enchaînent. Une véritable machine à danser. Les artistes donnent le change. Le clavier est intenable, pogotte en alignant les mélodies techniques aux influences éparses. On se perd l'espace de quelques secondes pour se prendre à rêver de plages, de fêtes, de joie: le voyage musical incarné. Intemporel. On en ressortira vidés mais heureux.

Comme si cela ne suffisait pas, le groupe se paie le luxe de se faire un petit rappel. Le pari est gagné.

On ne le dira jamais assez. New York est "le" vivier des talents des années 2000.

 

22h45: 3ème concert: Egyptian Hip Hop: la semi-déception.

On les attendait au tournant. On en avait fait la couverture il y a peu (cf notre article). On se posait des questions. Le concert nous a permis d'en résoudre certaines mais en soulève d'autres. Oui, ces quatre gamins ont du talent c'est indéniable. Oui leur musique peut toucher la perfection parfois (radd pitt, moon crooner, wild human child, middle name period), oui ces quatre shoegazing kids sont doués techniquement et nous le démontrent assez aisément. Mais le hic, c'est qu'ils devront choisir, s'ils ne veulent pas se perdre entre l'électro et le rock. Autant les morceaux électro s'avèrent bien sentis et implacables de qualité, autant les morceaux plus rock se révèlent sans saveur de prime abord. Et leur dégaine sur scène n'y arrange rien. La prestation scènique semble se destiner fondamentalement à une audience adolescente pré-puber. Est-ce pas excès de timidité? Est-ce un choix? Aucune idée. Ne serait-ce qu'un groupe de studio non taillé pour la scène? Nous sommes largués. A moins que nous ayons tout faux et dans ce cas ce groupe est réellement un futur grand de demain. En tout cas il a tous les atouts pour le devenir. A lui de trouver sa voie. Gageons qu'ils prennent le bon chemin et nous emmène dans son sillage. On vous conseille malgré tout d'aller y jeter un coup d'oeil. ça vaut le détour.

 

00h10: 4ème concert: Funeral Party: fumant.

On vous en avait déjà parlé. Le groupe était annoncé comme l'une des grandes révélations du festival. On se préparait donc de pied ferme à leur venue. Et ils ne nous ont pas déçus. Du rock suintant, une bête de scène de chanteur, qui crache ses entrailles avec une conviction inébranlable. Des musiciens qui harranguent la foule mollassonne. Ils étaient là pour le deuxième concert de leur tournée et leur premier festival de leur jeune carrière et voulaient montrer en premier à la France ce qu'ils avaient dans le froc.

Un show de qualité. On a apprécié. Pas de rappel malheureusement. Mais le public ne semblait pas armé pour se prendre une telle gifle.

 

Pour résumer, une première journée musicale et scénique de qualité. Et on remet ça ce soir.

Pour vous faire votre propre avis, allez checker les pettes vidéos que nous vous proposons. C'est juste en dessous et c'est maintenant. Keep on rocking. Dig your sound!

 


Partager cet article
Repost0
29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 01:16

FuneralParty-02-big.jpg

 

Ne vous y trompez pas. Derrière ce nom de scène antinomique se cache une bête de scène. Et à juste titre ! Le vivier californien nous sort encore une perle.

Bon sang, ça faisait bien longtemps que l’on n’avait pas entendu un rock band aussi pêchu et jumpy ! Du soleil dans les tympans. Un réveil de l’arrière saison. Du son gras, bien dégueulasse dans la même trempe qu’un Kasabian des premiers temps ou un Brian Jonestown bien ecstasié.

Et pourtant c’est frais. On ne marche pas sur les mêmes sentiers déjà battus par de nombreux « groupes » se réclamant du courant new-english. Là on est à L.A, on envoie du lourd sans réfléchir au style puisque le style on l’a dans le sang. ça envoie du bois : tu prends ou tu vas voir ailleurs du côté de Brandon Flowers…

Bref, des riffs biens sentis, une voix erraillée des familles, des écorchés vifs qui donnent leur vie sur scène pour essayer de vous faire partager toute leur fougue. Ça y est vous tapez du pied ?

Une petite merveille à découvrir. D’ailleurs ils se targuent de faire bouger le monde entier.

Allez donc checker ça ! La petite claque de cette fin d'année.

 

Partager cet article
Repost0
21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 00:23

egyptianhiphop19865.jpg

 

 

On les attendait pour 2010, ils avaient déjà le don et le (faux) style, mais ils n'ont pas réussi à affoler la blogosphère musicale...Deuxième tentative, cette fois-ci, pour percer en 2011. Et bien au-delà de l'Angleterre ouvrière.

 

Un nom idiot, des têtes idiotes...Egyptian Hip Hop n'a rien pour convaincre a priori si ce n'est le talent! Aux nostalgiques de "Madchester", le morceau "Rad Pitt" donnera le petit frisson. Leurs références à la scène Mancunienne sont certes exagérées et un tantinet trop calculées, mais qui peut s'en plaindre?

 

Un riff implacable, une voix fragile, un beat dansant: tout est réuni pour annoncer dans votre prochaine "party" que vous tenez la révélation 2011. Mais dépêchez-vous de l'annoncer avant qu'il ne soit trop tard: les terribles zozos passeront par les Transmusicales rennaises dans deux mois. Et après les Trans vient la gloire, c'est bien connu...

 

 

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 19:33

3 EP, 1 single: c'est le tableau de chasse pour le moment peu garni de ce quintet venu tout droit de Nouvelle-Zélande. Peu garni le tableau, mais déjà majestueux.

Vous souffrez de l'absence de musique puissante et intemporelle? Le médicament "Young Blood" est là pour combler ce manque. En l'espace de 3 minutes et des poussières, vous voilà propulsés dans un monde plus beau, plus fier, plus héroique.

Les consignes d'utilisation sont limpides: le tube des Naked and Famous s'écoute au bureau, à la sortie d'une session de surf solo, en road-trip, en descente. C'est là toute la puissance des claviers, des basses et des voix enivrantes du combo néo-zelandais.

Si vous souhaitez revivre l'orgasme que vous avait procuré votre première écoute de "Time to Pretend" de MGMT, ne pas hésiter: "Young Blood" est incontestablement le titre qui propulsera le groupe en haut, tout en haut, du firmament musical. 

En attendant l'album et une tournée qu'on espère mondiale, jetez-vous sur leur site, vous y dénicherez leurs EP's à pas cher.

La Nouvelle-Zelande nous sort rarement des perles, alors à vous de saisir l'occasion de dire plus tard à votre progéniture : "J'ai connu un groupe néo-zelandais...un bijou!"

 

Partager cet article
Repost0